Zazie Je suis un homme
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William Sheller - Un Homme Heureux
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Tout simplement la plus belle chanson que j'ai entendue de toute ma vie ... Un superbe morceau d'un artiste genial et discret mais dont les clips sont extremement difficile a trouver malheureusement ... Divin ....
Patrick Macnee, chapeau melon sur la tête et parapluie au bras, joue l'agent secret John Steed tout au long de la série. Dans
Dans la deuxième saison, Ian Hendry est parti, et le docteur Martin King (Jon Rollason) va assister Steed durant trois épisodes. Steed est devenu le héros. Il aura ensuite une partenaire féminine, Cathy Gale (jouée par Honor Blackman) ou Venus Smith (Julie Stevens), dans six épisodes.
Dans la troisième saison, Cathy Gale sera la seule partenaire de Steed. Ils forment un duo de choc, elle est belle et efficace, souvent habillée de cuir (d'où le titre français de la série). Il est élégant et fait preuve d'un flegme inaltérable et d'un humour très britannique. La série connaît désormais un très grand succès. Les scénarios progressent en qualité, probablement grâce à l’arrivée de Brian Clemens. Le nom de ce scénariste-producteur reste attaché pour toujours à cette série à laquelle il a donné ses lettres de noblesses.
La quatrième saison voit apparaître Emma Peel (jouée par Diana Rigg) en remplacement de Cathy Gale. Elle est brune-rousse, championne de la bagarre et n'a peur de rien. On sent une véritable complicité entre les acteurs, leurs dialogues étant d'ailleurs souvent à double sens.
La cinquième saison, toujours avec Mme Peel (« On a besoin de nous... »), marque le passage à la couleur. Des
Il va donc falloir trouver une nouvelle partenaire pour Steed dans la sixième saison. Ce sera Tara King (jouée par Linda Thorson), une jeune fille pas très dégourdie, du moins au début de la saison (en outre, les talents d'actrice de Linda Thorson sont contestés). D'autres personnages récurrents apparaissent : le chef, Mère-Grand (Patrick Newell) et son garde du corps féminin et muet, Rhonda (Rhonda Parker).
La série se termine à la fin de cette saison en 1969, en effet, celle-ci devient de plus en plus coûteuse à produire et le producteur américain se retirant du projet, les Britanniques ne peuvent se résoudre à la produire seuls. La série s'arrête en plein succès mondial.
En 1976, la série renaît sous le titre The New Avengers en Grande-Bretagne, avec deux partenaires cette fois-ci pour Steed : la belle et intrépide Purdey Sans-nom-de-famille (Joanna Lumley, la future Patsy
L'histoire de la Jpop peut être suivie en même temps que celle du jazz qui devint populaire durant le début de l'Ère Shōwa. Le Jazz réintroduisit plusieurs instruments de musique, auparavant utilisés seulement pour jouer de la musique classique ou des marches militaires, dans les bars et les clubs. Le jazz ajouta également l'élément de "fun" à la scène musicale japonaise. Comme résultat, les "Ongaku Kissa" bar à mu devinrent très populaires grâce à ce renouveau musical.
Sous la pression de l'armée impériale durant la Seconde Guerre mondiale, la pratique de musique jazz fut temporairement stoppée. À la fin de la guerre, les soldats américains et le Far East Network - qui occupèrent le Japon à cette époque - introduisirent un certain nombre de nouveaux styles musicaux dans le pays. Le Boogie-woogie, le Mambo, le Blues et la musique country étaient joués par des musiciens japonais pour les troupes américaines. Des chansons comme le "Tokyo Boogie-Woogie" de Shizuko Kasagi (1948), "Tennessee Waltz" de Chiemi Eri (1951), "Omatsuri Mambo" de Hibari Misora, et "Omoide no Waltz" de Izumi Yukimura devinrent populaires. Des musiciens étrangers et des groupes dont Jazz at the Philharmonic et Louis Armstrong vinrent jouer au Japon. 1952 fut déclarée l'année du Boom du Jazz mais le genre lui-même demandait un haut niveau technique et était difficile à jouer. Comme résultat, plusieurs musiciens japonais amateurs se tournèrent vers la musique country, bien plus facile à apprendre et à jouer. On assista à une prolifération de ce genre musical au Japon.
En 1956 la folie du rock 'n' roll commença grâce à un groupe de musique country connu sous le nom de Kosaka Kazuya and the Wagon Masters et leur reprise de Heartbreak Hotel d'Elvis Presley. Le mouvement rock atteint un sommet en 1959 avec la réalisation d'un film comprenant des performances de plusieurs groupes japonais de musique rock. Cependant, la scission du rock 'n' roll aux États-Unis fut rapidement suivie par celle au Japon. En effet de nombreux groupes japonais étaient très influencés par leurs équivalents américains. Quelques artistes tentèrent de fusionner la musique pop traditionnelle japonaise avec le rock. Parmi ceux qui y parvinrent, Kyu Sakamoto avec la chanson "ue wo muite arukō" (lit. "Regardons en l'air et avançons"), connue ailleurs dans le monde comme "Sukiyaki". D'autres artistes décidèrent de jouer de la musique et de traduire les paroles de chansons populaires américaines, ce qui a fait naître la cover pop. Leur popularité diminua cependant lorsque la radio et la télévision donnèrent à tout un chacun l'occasion d'écouter les artistes à l'origine de ces chansons. Cependant, le concept de karaoké et sa popularité peuvent sans doute être attribués à ce phénomène.
Durant la période allant du début des années 70 jusqu'au milieu des années 80, on passa de chansons simples avec une seule guitare en accompagnement à des arrangements musicaux plus complexes connus sous le nom de New Music. En lieu et place de messages à caractère social les chansons se concentrèrent sur des événements ou les sentiments de la vie comme l'amour. Takuro Yoshida et Yosui Inoue sont deux artistes notables de cette New Music.
Dans les années 80 le terme City Pop fut utilisé pour décrire un type de musique populaire avec un thème citadin principal. Tōkyō en particulier inspira de nombreuses chansons de ce genre. Il est difficile de déterminer une limite précise entre la City Pop et la New Music et de nombreuses chansons correspondent aux deux catégories.
Le R'n'B devint populaire au Japon vers la fin des années 90, avec les débuts de Hikaru Utada et son premier single "Automatic/time will tell". Son premier album, "First Love" s'est vendu à environ 7 500 000 d'exemplaires, réalisant la plus grosse vente d'albums de tous les temps, et la meilleure vente pour un premier album. Pendant ce temps, la musique pop était toujours aussi populaire au Japon avec des artistes solo féminins comme Ayumi Hamasaki, Mai Kurai et Ami Suzuki, et des groupes féminins comme Speed et Morning Musume.
Depuis le début des années 2000, les influences R'n'B et hip hop sont plus fortes que jamais. Des groupes que l'on pourrait qualifier de J-Hiphop/rock comme Orange Range et Ketsumeishi sont au top des classements Oricon, avec quelques groupes de pop/rock plus anciens comme Mr. Children, B'z et Southern All Stars.
Impact sur la culture populaire
Le nombre important de chansons qui sont réalisées implique que le "visage" de la Jpop change constamment. Plusieurs artistes ne feront qu'un seul album et quelques singles avant de disparaître dans l'anonymat. Il est très difficile de rester sur le devant de la scène, et les artistes qui parviennent à conforter leur popularité sur une décennie sont considérés comme très talentueux. Des groupes comme Dreams Come True, Chage & Aska, B'z, Southern All Stars, The pillows, et TUBE qui ont eu du succès durant plus de 15 ans peuvent être considérés comme des succès phénoménaux.
Les cinq dernières années ont connu l'émergence d'un étrange nouveau phénomène provenant de l'est du Japon. Autour de Fukuoka et Ōita, des groupes formés à la fois d'artistes japonais et étrangers ont vu leur popularité progresser subitement. Cette popularité a attiré l'attention de plusieurs grandes compagnies musicales, comme Sony Japan. On peut citer par exemple des groupes Bump of Chicken, Fever, Dr. Funkinstein, Flowers, The Routes, Def Tech, F8, et The James Heneghan Acoustic Roadshow.
La musique Jpop fait partie intégrante de la culture japonaise. Elle est utilisée partout : anime, magasins, publicités, films, émissions radio ou télévisuelles, et jeux vidéos.
La Wasei Pop(lit. la pop du Japon) devint rapidement une expression courante pour décrire à la fois la City Pop et la New Music. Audébut des années 90, J-pop devint le terme courant pour décrire la plupart de ces chansons populaires.